Le
soleil et la vie d'une infime pensée
Et de par tous les lieux
quand le soleil paraît
En des matins de nuits que bouscule
l'abstrait
Je ne veux ignorer le moindre de tes maux !
Tu
trouveras ma vie dénuée de partage
Et mes incognitos évidés de
mes leurres
Comme au gré d'un bosquet l'aube d'un marécage
La
douceur, la douceur des beautés des parfums
Comme parmi la vie
les choses sont sans fin
Comme parmi la vie les choses sont sans
pleures !
Et sur la page blanche où tu as dessinée
Juste
du bout d'un doigt dont je connais le lieu
Se confondent tes mots
aux miens toujours innés
Se confond le secret d'un secret entre
nous
Comme au ciel une vie à tomber à genoux
Une vie, son
miroir, où se reflète Dieu !
Je regarde ton rire et
j'entends le bonheur
Parmi mes soubresauts, ma propre
nonchalance
Et nous avons parlé peut-être... plus d'une heure
A
n'écouter que Nous aussi loin qu'on peut être
A ce petit lieu
dit, au bord de ma fenêtre,
Et sur ta page blanche ainsi mes mots
s'élancent!
Alain Girard
le 7 01 2016
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